Tyranides

Récapitulatif de mes travaux sur les Tyranides


Les Tyranides furent nommés ainsi car la base militaire de la planète Tyran fut la première attaquée par l'essaim. Les Tyranides voyagent à travers le vide inter-galactique en vastes flottes-ruches. Elles sont formées de millions de vaisseaux vivants, contrôlés par une seule conscience, l'Esprit de la Ruche, le "Grand Dévoreur de mondes"
Les tyranides évoquent immanquablement la vision d'une race prête à dévorer la galaxie, des nuées de monstruosités qui noient l'ennemi sous une masse de griffes et de crocs. Des créatures qui ne connaissent ni la peur, ni la pitié et qui sont guidées par leur instinct et la conscience supérieure de l'Esprit de la Ruche. Bien peu d'humains réalisent le danger que font réellement peser les tyranides sur la galaxie.
En effet, pour chaque flotte-ruche émergeant des confins du vide spatial, une douzaine d'autres attendent patiemment leur heure. Pour chaque tyranide tué par les défenseurs de l'Humanité, des centaines d'autres sont engendrés dans les bio-vaisseaux des flottes-ruches. Même le terrifiant arsenal de l'Imperium ne saurait suffire à contenir indéfiniment leurs attaques, et ceux qui affrontent les tyranides font en vérité face à bien pire que la mort, car une fois leurs tissus et leurs cellules absorbés par la flotte-ruche, ils constitueront de nouvelles créatures qui à leur tour se lanceront à l'assaut d'autres planètes, jusqu'à les dévorer toutes.
Chaque individu n'est qu'une cellule au sein de l'organisme titanesque qu'est la race tyranide elle-même, une conscience si vaste qu'elle s'étend sur des millions d'années-lumière et guide ses rejetons avec une détermination et une volonté implacables. Les défaites infligées aux tyranides ne sont pour elle que des égratignures, et son évolution est si rapide que chaque nouvelle génération de créatures est plus mortelle que la précédente. Les flottes-ruches sont de nouveau prêtes à frapper, et l'Ombre dans le Warp s'étend inexorablement sur l'Humanité.

(source Wikipédia)

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire